Dès novembre 1919, le Conseil de La Société des foyers de l’Union Franco-Américaine s’inquiète de la situation précaire de nombreuses femmes. Il est alors décidé de les admettre dans les foyers. Pour ce faire, les statuts sont modifiés afin de donner l’autorisation aux directeurs « d’expulser les personnes dont la tenue aura laissé à désirer ».
« La situation pénible des mères abandonnées » est à nouveau évoquée en 1955, celle des femmes battues en 1977.
Après de gros travaux de remise en état, il s’agit d’offrir des logements intermédiaires à des familles monoparentales et à des jeunes à leur sortie du foyer.
La surface totale à réhabiliter est de 550 m². En plus de l’aménagement du rez-de-chaussée et d’un appartement de fonction, les quatre étages pourraient être transformés afin d’accueillir chacun un appartement de trois pièces (40 m²) et trois studios (18 m²).